On est tous des jardiniers, ou des patagouilleurs. C’est selon…
Jardiniers :
Quand tu sèmes l’écoute et l’amour (amour pas avec un grand A, qu’on s’entende bien), tu récoltes pareil ! Pas auprès de tout le monde, parce que les gens, c’est comme les jardins : La terre n’est pas toujours fertile !
Et des fois tu sèmes dans un jardin avec une terre pourrie, mais comme la nature fait bien les choses, le vent pousse tes petites graines ailleurs, dans une terre fertile. Et là tu peux aller récolter où tu ne t’y attendais pas.
Patagouilleurs :
Ce sont les gens qui sautent dans les gouilles. C’est toujours chouette de sauter dans les gouilles après la pluie, d’éclabousser les gens pour rigoler. Mais faut penser à une chose ; Si tu n’as pas les bonnes bottes pour le faire, tu te ramasses le retour des gouttes dans les jambes, et tu te retrouves avec un pantalon complètement détrempé, qui mettra du temps à sécher. Donc si tu veux être patagouilleur, faut savoir bien s’équiper ! Les jardiniers aussi d’ailleurs doivent être bien équipés. Tu ne sèmes pas de l’amour avec de l’égoïsme ! Ce serait aussi débile que de planter des carottes en espérant récolter des fraises ! D’ailleurs ces deux ne poussent pas dans la même terre…
Voilà, c’était la Vie vue par Cellule, la petite jardinière naïvement philosophe un peu concon (bre)
^_^
C’est con comme théorie, et c’est gamin ! Mais on entend souvent dire qu’il faut garder son âme d’enfant… Et je crois que c’est dans ce genre de situation qu’il faut ressortir sa naïveté et son mini-moi qui se cache au fond de nous !
25 November 2008
20 November 2008
-.-
Cellule a envie de Chialer, mais de chialer... Et Encore Chialer, chialer... ...
Putain mais c'est quand le Bonheur?!
Depuis combien de temps il n'y a pas eu une putain de période Heureuse?!
Fuck...
WaterLilies
Naissance des pieuvres / WaterLilies
De Céline Sciamma
Avec Pauline Acquart
Louise Blachère
Adèle Haenel
Un magnifique film sur lequel je suis tombée par hasard (et que j'ai vraiment bien fait d'acheter!)
Avec des actrices qui jouent à merveille, une histoire pas banale d'adolescence... Franchement, ça vaut le coup de le voir! Peut-être un peu lent... Mais c'est aussi un des détails qui fait son charme.
Critique / commeaucinema.com
Le désir chez les jeunes filles en fleur : juste mais inégal
"Présenté au festival de Cannes 2007 dans la section Un certain regard, Naissance des pieuvres est le premier long-métrage de Céline Sciamma, fraîchement sortie de la Femis en section scenario. Sur fond chloré d’une piscine de Cergy, place à la naissance du désir dans les amitiés adolescentes.On y ressent à merveille l’ennui de jeunes filles désoeuvrées et livrées à elle-même dans une banlieue désertée. Les relations entre les trois héroïnes sont authentiques, et mêlent admirablement la gêne teintée de curiosité, la cruauté, et la fasination. Le casting est excellent et ces toutes jeunes femmes sont à la fois sincères et précises. Naissance des pieuvres nous offre donc une peinture sans aucune fausse note de cet univers changeant et presque insaisissable des amours adolescentes.Mais cette sensibilité à fleur de peau, ne suffit pas à donner au film son rythme : trop de longueurs, et quelques travers esthétisants suffisent à noyer ces moments d’exception dans une eau somâtre. La justesse de l’analyse ne peut dispenser d’une véritable construction de l’intrigue. Ici les pieuvres s’essouflent vite, tandis que les ballets aquatiques s’éternisent.
Anne-Christine Caro"
18 November 2008
Mexique
Objectif Janvier :
MEXICO !
2009 s'annonce... comment dire? Moisi ? Pourri ? Angoissant ?
Mouais, je ne sais même pas quel mot choisir tellement ça à l'air mal parti.
Mais faisons quelques prévisions, en attendant le déluge...
Janvier : Le Mexique ! 3 semaines entre nanas, sac au dos, soleil, plage, bonne humeur... Bref ! Ceci s'appelle la lobotomie par le voyage.
Et putain, je crois que ça va faire du bien !
Février: - Retour à la réalité -
Ce qui signifie : Plus de thune - le boulot, à voir - pas d'homme - pas d'attaches...
En gros, le flippe total, mais la bonne humeur et le teint un peu moins "je passe ma vie devant mon écran"...
Mouais... J'aime bien me faire du mal en pensant à mon avenir...
Conclusion: Je vais commencer à hiberner à partir du mois de septembre dorénavant! (jusqu'en mai...) C'est tout le temps la merde de toute façon les fins d'années, alors autant roupiller !
Donc, à suivre... Je pourrais limite me mettre à écrire "Les fabuleuses aventures biscornues et étranges de Mamzelle Cellule"
12 November 2008
PirAte
Cellule attend...
Qu'il revienne...
Qu'il arrête ses conneries...
Cellule a peur...
Cellule n'a pas envie de dormir sans savoir...
Cellule n'aime pas cette appréhension au fond de son ventre...
Pourquoi part-il comme ça, faire le Pirate? Et pourquoi est-ce qu'elle s'inquiète, alors qu'elle ne devrait pas... Elle ne pensait pas que la vie de Femme de Pirate serait ainsi, angoissante...
Elle retourne bêtement dans son adolescence, sans les même situations qui l'entourent. Mais arrive quand même à s'en faire, à redevenir raisonnable, quand son amour est en jeu.
Parce que oui, c'est plaisant un moment de vivre sans se soucier de rien... Sans inquiétude... Vivre au jour le jour, adviendra que pourra...
Mais il faut bien finir par revenir à la réalité, sans pour autant oublier son âme d'enfant.
Elle n'a jamais voulu perdre ce côté... Mais à fini par tout foutre en l'air dans sa tête, jusqu'à ce perdre dans les méandres de...
Femme-Enfant... Paumée... Ne sachant pour où se situer exactement...
A l'affût de son Homme... D'un signe au loin...
Reviens...
<3
10 November 2008
Huhu
Nouveau passe-temps:
Celluuule La Brute
ARGHHHHH...
Je sens que je vais de nouveau passer mes soirées devant mon écran moi...
Teint blanchâtre au rendez-vous! Youhou ! ^_^
Celluuule La Brute
ARGHHHHH...
Je sens que je vais de nouveau passer mes soirées devant mon écran moi...
Teint blanchâtre au rendez-vous! Youhou ! ^_^
09 November 2008
07 November 2008
Jardinière
On récolte ce qu’on sème… 
Cellule elle a sorti ses petites bottes en plastique de patagouilleuse – sa jupette rouge à volants – son petit tablier noir – ses gants de jardin rouges à pois blancs – son grand capuchon rouge…
Fallait pas jouer à la jardinière et tout déraciner…
Fallait pas croire que tout pouvait fonctionner…
Fallait pas se laisser ensorceler…
Fallait pas essayer de faire un choix sans réfléchir à soi…
05 November 2008
Flash info – 1ère impression
Première nuit « d’exil » à Vauderens, loin de tout…
Au réveil une conclusion s’impose : Je suis toujours paumée.
Démission donnée – je ne sais pas exactement ce que j’ai envie de faire, quel boulot chercher…
Côté cœur – je ne sais pas exactement si je suis amoureuse, nostalgique, bourrée d’affection, envers qui, ce que je veux vraiment…
Alors histoire de passer mon cerveau, mon âme, mes sentiments, mes envies, etc… au mixer, je me suis dit : Hop ! Back to the Roots ! Chez Daddy !
Départ tout en émotion, allez savoir pourquoi, j’avais envie de chialer…
Mais en grande fille que je suis, je prends sur moi et j’y vais. (Franchement quelques jours loin de Fribourg, ce n’est pas la mort non plus!)
Adieux déchirants avec Caro (ti dü*), je prends mon petit baluchon et m’en vais gambader pas si joyeusement que ça sur le bitume à la recherche de la voiture de mon Daddy.
J’arrive dans la voiture, on décide d’aller se faire une pizza à Romont (dans la meilleure pizzeria en plus, s’il vous plaît) et c’est parti.
La discussion commence comme d’hab’ – vie de merde – boulot de merde – amour de merde – bla bla, c’est la MERDE !
On papote, on se plaint… C’est pas joyeux, ce qui n’arrange pas à mon envie de chialer… Mais mon Daddy a l’air encore tellement plus mal que moi, que je fais la grande. Jusqu’à ce que des larmes traversent les joues de mon Daddy. Et un Daddy qui pleure, moi j’avais JAMAIS vu ! Et c’est triste ! Mon petit cœur se déchire… Alors pour contrer le truc, je me mets à réfléchir à des solutions, à raconter des bêtises, à essayer de le faire rire… Bref j’adopte mon attitude « carapace-tout-va-bien-pas-de-souci-youpie-tralala-je-suis-là-pour-toi ».
On mange notre délicieuse pizza, un petit coup de rouge et on rentre.
Arrivés à la maison, il m’offre des petits souvenirs d’Egypte et voilà que je me retrouve avec une Ankh autour du poignet. (Signe qui ne définit pas vraiment ma vie pour le moment, faut-il avouer, mais je vais m’y accrocher).
Après lui avoir administré une dose d’homéopathie (pourquoi les Daddy ça ne croit pas aux remèdes des petites filles?) - 22h15 – je suis au lit. Fait exceptionnel dans ma vie actuelle !
Et ce matin au réveil – 2 cafés en sa compagnie, une boule de Berlin et je m’en vais.
(Comment ça à quelle heure j’arrive ce soir ? Ah oui… J’avais oublié ce que c’était la vie avec un Daddy)
Et réflexion ferroviaire – Sweet Jesus ! J’ai encore plus envie de chialer qu’avant de venir et du coup je me fais du souci pour : mon Daddy – mon frangin – ma vie…
À suivre…
Au réveil une conclusion s’impose : Je suis toujours paumée.
Démission donnée – je ne sais pas exactement ce que j’ai envie de faire, quel boulot chercher…
Côté cœur – je ne sais pas exactement si je suis amoureuse, nostalgique, bourrée d’affection, envers qui, ce que je veux vraiment…
Alors histoire de passer mon cerveau, mon âme, mes sentiments, mes envies, etc… au mixer, je me suis dit : Hop ! Back to the Roots ! Chez Daddy !
Départ tout en émotion, allez savoir pourquoi, j’avais envie de chialer…
Mais en grande fille que je suis, je prends sur moi et j’y vais. (Franchement quelques jours loin de Fribourg, ce n’est pas la mort non plus!)
Adieux déchirants avec Caro (ti dü*), je prends mon petit baluchon et m’en vais gambader pas si joyeusement que ça sur le bitume à la recherche de la voiture de mon Daddy.
J’arrive dans la voiture, on décide d’aller se faire une pizza à Romont (dans la meilleure pizzeria en plus, s’il vous plaît) et c’est parti.
La discussion commence comme d’hab’ – vie de merde – boulot de merde – amour de merde – bla bla, c’est la MERDE !
On papote, on se plaint… C’est pas joyeux, ce qui n’arrange pas à mon envie de chialer… Mais mon Daddy a l’air encore tellement plus mal que moi, que je fais la grande. Jusqu’à ce que des larmes traversent les joues de mon Daddy. Et un Daddy qui pleure, moi j’avais JAMAIS vu ! Et c’est triste ! Mon petit cœur se déchire… Alors pour contrer le truc, je me mets à réfléchir à des solutions, à raconter des bêtises, à essayer de le faire rire… Bref j’adopte mon attitude « carapace-tout-va-bien-pas-de-souci-youpie-tralala-je-suis-là-pour-toi ».
On mange notre délicieuse pizza, un petit coup de rouge et on rentre.
Arrivés à la maison, il m’offre des petits souvenirs d’Egypte et voilà que je me retrouve avec une Ankh autour du poignet. (Signe qui ne définit pas vraiment ma vie pour le moment, faut-il avouer, mais je vais m’y accrocher).
Après lui avoir administré une dose d’homéopathie (pourquoi les Daddy ça ne croit pas aux remèdes des petites filles?) - 22h15 – je suis au lit. Fait exceptionnel dans ma vie actuelle !
Et ce matin au réveil – 2 cafés en sa compagnie, une boule de Berlin et je m’en vais.
(Comment ça à quelle heure j’arrive ce soir ? Ah oui… J’avais oublié ce que c’était la vie avec un Daddy)
Et réflexion ferroviaire – Sweet Jesus ! J’ai encore plus envie de chialer qu’avant de venir et du coup je me fais du souci pour : mon Daddy – mon frangin – ma vie…
À suivre…
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